PAINTINGS

José Marti et les papillons…

Nous sommes dans un hameau près de Gran Piedra, chaîne montagneuse aux alentours de Santiago. Il s'y trouve une pièce communale où on se retrouve, à certaines heures pour lire, ou regarder des DVD. Sur le meuble bibliothèque, on voit un portrait de José marti , homme politique(1853- 1895), philosophe, penseur, journaliste et un poète cubain. Il est le fondateur du Parti Révolutionnaire Cubain . Il est certainement l'homme le plus glorifié par le peuple cubain, qui le considère comme un héros national, le plus grand martyr et l'apôtre de la lutte pour l'indépendance. Il est un des représentants les plus célèbres du mouvement moderniste hispano-américain.

Lys orangé

Les lys ou lis sont des plantes herbacées de la famille des Liliaceae appartenant au genre Lilium.

Belle américaine sur la plage de Siboney

Pour nous autres occidentaux, Cuba est par excellence le pays des vieilles voitures américaines. La Havane, Santiago ou Holguin roulent dans des voitures que les collectionneurs de chez nous n'oseraient sortir de leur garage qu'avec une extrême précaution. Qu'à cela ne tienne. Les Cubains se déplacent dans des bijoux des années 1950 qui crachent de la fumée, bringuebalent les passagers mais avancent toujours. Par la force des choses, ils sont devenus de formidables mécaniciens. Ils doivent en effet faire preuve d'une débrouillardise sans faille pour entretenir des voitures vétustes qui tombent fréquemment en panne.

Fleurs de Cuba

Le jardin botanique de Gran Piedra est installé sur les ruines d'une ancienne plantation de café fondée par des français au début du 19e. Ici des fleurs coupées sont en attente de livraison.

Les remparts du Château de San Pedro de la Roca

La forteresse est construite sur les pentes abruptes du promontoire (le Morro à partir duquel elle tire son nom) pour atteindre la baie. Santiago est située au fond de cette baie commandée par une passe étroite (200 m de large) entre la mer des Caraïbes et les montagnes de la Sierra Maestra.

Statut de bronze de Miguel Matamoros

Dans une rue de Santiago, statue de Miguel Matamoros (8 mai 1894 à Santiago de Cuba - 15 avril 1971) qui est un musicien, compositeur, et chanteur cubain, créateur du Trio Matamoros.

Séchage du linge sur Cayo Granma

Cayo Granma est un agréable village de pêcheurs dans la baie de Santiago de Cuba. Intéressant pour ses maisons en bois sur pilotis et l'accueil de ses habitants. Il y règne une intense douceur de vivre sans doute due au fait qu'il n'y a pas de voitures ici.

Homme d'église à la Basilique de Cobre

Tout près de Santiago de Cuba, El Cobre (en relation avec l'exploitation du cuivre – el cobre- importante sur ce site) est un haut lieu de pèlerinage pour les Cubains grâce à la Basilique de Notre-Dame de la Charité qui se dresse au plus élevé du village. Cette Ste Patronne des Cubains est célébrée tous les 8 septembre, grand jour de célébration, attirant des foules venues des quatre coins du monde pour déposer des offrandes et faire des vœux à leur Vierge chérie en attendant des faveurs et la grâce divine moyennant son intercession devant le bon Dieu. En janvier 1998, le pape Jean-Paul II a effectué une visite historique sur l'île, invité par le gouvernement cubain et l'Église catholique. Il choisit el Cobre pour y faire halte.

Partie de dominos à Bayamo

Le jeu du domino passionne depuis plusieurs siècles et de continent en continent, les historiens ne peuvent affirmer avec certitude l'origine exacte du domino. La richesse de ce jeu est due à ses multiples variétés et à ses règles qui différent selon les pays. Il y a 2 variantes de domino jouées à Cuba : celle de la Province autour de Guantanamo (sud-est de l'île), la variante du double six, méthode la plus théorique pour se souvenir les tactiques et faire les calculs et induire en erreur l’adversaire. Alors que dans la partie occidentale, de Camaguey à Pinard el Rio, on pratique la variante du double neuf avec cinquante cinq pièces, dans laquelle il y a celles qui ne sont pas en jeu entraînant des calculs beaucoup complexes. Les joueurs jettent les fiches (dominos) et les frappent sur la surface qui les soutient, comme si le plus haut fracas pouvait assurer le triomphe. Les nerfs se tendent et les provocations verbales commencent, pour déconcentrer l’adversaire. Bref, un véritable sport national qui anime les parcs des villes.

Cabines téléphoniques

Belle américaine dans une rue de Bayamo

Pour nous autres occidentaux, Cuba est par excellence le pays des vieilles voitures américaines. La Havane, Santiago ou Holguin roulent dans des voitures que les collectionneurs de chez nous n'oseraient sortir de leur garage qu'avec une extrême précaution. Qu'à cela ne tienne. Les Cubains se déplacent dans des bijoux des années 1950 qui crachent de la fumée, bringuebalent les passagers mais avancent toujours. Par la force des choses, ils sont devenus de formidables mécaniciens. Ils doivent en effet faire preuve d'une débrouillardise sans faille pour entretenir des voitures vétustes qui tombent fréquemment en panne.

Chevaux

Chevaux en train de paître sur un bord de route près de l'Hacienda la Belen, réputée pour son élevage.

LR : Polaroïd vieilli + contour Vignette PC2

Belle américaine dans une rue de Sancti Spiritus

Pour nous autres occidentaux, Cuba est par excellence le pays des vieilles voitures américaines. La Havane, Santiago ou Holguin roulent dans des voitures que les collectionneurs de chez nous n'oseraient sortir de leur garage qu'avec une extrême précaution. Qu'à cela ne tienne. Les Cubains se déplacent dans des bijoux des années 1950 qui crachent de la fumée, bringuebalent les passagers mais avancent toujours. Par la force des choses, ils sont devenus de formidables mécaniciens. Ils doivent en effet faire preuve d'une débrouillardise sans faille pour entretenir des voitures vétustes qui tombent fréquemment en panne.

LR : Polaroïd vieilli + contour Vignette PC2

Cadre avec PhotoFrame

Femme au parapluie

Ici le parapluie fait bien sûr office d'ombrelle puisque le soleil "tape" dans les rues de Banao (Province de Camaguey) en cette journée du mois d'août.

Employée aux écritures dans une boutique d'état

Ici on vend les produits figurant sur la libreta, "petit livre" qui correspond à un carnet de rationnement né avec la Révolution cubaine. Plus de 70% des cubains survivent grâce à ce livret qui recense les produits auxquels les cubains ont droit chaque mois. Ces produits sont subventionnés et les habitants paient environ 15 pesos cubanos pour l'ensemble des biens qui y sont répertoriés. Après calcul cela correspond à 0,45€ pour les 15 premiers jours du mois de nourriture ! 3,5 kg de riz, 2,5 kg de sucre, 500 g de haricots, 230 g d'huile, 10 œufs, 460 g de poulet, la même chose de spaghetti, 230 g de "bœuf" haché, 115 g de café, un pain par jour…