Jaipur

Temple de Lakshmi-Narayan . Appelé également Birla Mandir, il fut édifié en 1988 à la demande de la célèbre famille d’industriels, les Birla, originaires du Shekhawati dans le Rajasthan. Ce temple hindouiste en marbre blanc domine la partie sud de Jaipur. Il est dédié à Vishnou (Narayan) et son épouse Lakshmi. Les 3 dômes énormes du temple représentent 3 approches différentes de la religion. Merveille architecturale moderne, ce temple est également entouré de jardins verdoyants.

Temple de Lakshmi-Narayan dédié à Vishnou (Narayan) le conservateur et son épouse Lakshmi, déesse de la richesse à Jaipur.

Temple de Lakshmi-Narayan dédié à Vishnou (Narayan) le conservateur et son épouse Lakshmi, déesse de la richesse. Ce temple hindouiste en marbre blanc de la meilleure qualité, domine la partie sud de Jaipur.

Temple de Lakshmi-Narayan

Temple de Lakshmi-Narayan dédié à Vishnou (Narayan) et son épouse Lakshmi. Ce temple hindouiste en marbre blanc de la meilleure qualité, domine la partie sud de Jaipur. Ici, le marbre devient translucide pour pouvoir profiter des rayons du soleil.

La porte du City Palace de Jaipur. Palais de ville du Maharaja en grès rose et en marbre blanc, transformé en musée par le dernier maharaja. Construit par Maharaja Sawai Jai Singh II (1686-1743), pendant son règne, cette grande structure de 7 étages contient entre autres une belle collection d'armes du 15e et de costumes. Le Palais se tient à part, avec son architecture remarquable, mélange d'art moghol et râjasthâni. Le complexe de Palais de ville occupe une vaste surface (1/7e de la superficie de la ville fortifiée), qui est divisée en une collection de jardins, de cours et de bâtiments. Une partie du Palais est toujours habitée par le Maharaja actuel (les plus belles parait-il ?) : Son Altesse Bhawani Singh"Bubbles", fils de Man Sing II (1922-1970), dernier Maharaja, très populaire, qui fut nommé « Rajpramukh » (gouverneur) de l’état après l'Indépendance. Actuellement, il y aurait encore 350 employés au palais !

Détail d'un instrument du Jangar Mantar -une altération du mot sanscrit Yantrasala , signifiant "Instruments à formule ésotérique"-: observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Tous ces instruments dont les noms et les fonctions nous dépassent sont en parfait état de conservation. On peut citer le Samrat Yantra qui mesure l’heure solaire à Jaipur, le Jai Yantra qui mesure la rotation du soleil, le Ram Yantra qui mesure la distance zénithale et l’altitude du soleil et enfin le Yantra Raj, le plus grand astrolabe du monde, énorme disque de cuivre de 2 m de diamètre qui permet de déterminer les dates de fêtes religieuses selon le calendrier hindou. Ici Dakshinodak- Bhittiyantre restauré en 1876, pour rechercher l'altitude du soleil puis la déclinaison et la longueur du jour… à midi. A voir aussi un gigantesque cadran solaire et douze plus petits, un par signe du zodiaque.

Détail d'un instrument du Jangar Mantar -une altération du mot sanscrit Yantrasala , signifiant "Instruments à formule ésotérique"-: observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Tous ces instruments dont les noms et les fonctions nous dépassent sont en parfait état de conservation. On peut citer le Samrat Yantra qui mesure l’heure solaire à Jaipur, le Jai Yantra qui mesure la rotation du soleil, le Ram Yantra qui mesure la distance zénithale et l’altitude du soleil et enfin le Yantra Raj, le plus grand astrolabe du monde, énorme disque de cuivre de 2 m de diamètre qui permet de déterminer les dates de fêtes religieuses selon le calendrier hindou. Ici Dakshinodak- Bhittiyantre restauré en 1876, pour rechercher l'altitude du soleil puis la déclinaison et la longueur du jour… à midi. A voir aussi un gigantesque cadran solaire et douze plus petits, un par signe du zodiaque.

Plaque émaillée (instrument : Samrat Yantra) au Jangar Mantar : observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Tous ces instruments dont les noms et les fonctions nous dépassent sont en parfait état de conservation. Ici on détermine l'heure exacte à Jaipur en fonction de l'altitude du soleil puis la déclinaison et la longueur du jour… à midi.

Instrument du Jangar Mantar (ici le double cadran incliné avec vue pour la lecture côté hiver): observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Tous ces instruments dont les noms et les fonctions nous dépassent sont en parfait état de conservation. On peut citer le Samrat Yantra qui mesure l’heure solaire à Jaipur, le Jai Yantra qui mesure la rotation du soleil, le Ram Yantra qui mesure la distance zénithale et l’altitude du soleil et enfin le Yantra Raj, le plus grand astrolabe du monde, énorme disque de cuivre de 2 m de diamètre qui permet de déterminer les dates de fêtes religieuses selon le calendrier hindou. A voir aussi un gigantesque cadran solaire et douze plus petits, un par signe du zodiaque.

Instrument du Jangar Mantar (ici le Jai prakash Yantra qui mesure la rotation du soleil): observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Sur cette photo, l’ombre portée du soleil dans la demi-sphère céleste indique le signe zodiacal traversé au moment de l’observation. Cette demi-sphère est graduée et renseignée de la position des constellations au cours de l’année. Par commodité et pour la précision, des allées sont aménagées pour la lecture. De fait, ceux sont 2 demi-sphères sur le site qui assurent les 360° de lecture complète.

Instrument du Jangar Mantar (ici le Jai prakash Yantra qui mesure la rotation du soleil): observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Sur cette photo, l’ombre portée du soleil dans la demi-sphère céleste indique le signe zodiacal traversé au moment de l’observation. Cette demi-sphère est graduée et renseignée de la position des constellations au cours de l’année. Par commodité et pour la précision, des allées sont aménagées pour la lecture. De fait, ceux sont 2 demi-sphères sur le site qui assurent les 360° de lecture complète.

Les planètes… un petit rappel.

Instrument du Jangar Mantar (ici Les « Rashivalayas » sont des cadrans solaires « astrologiques »): observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Sur cette photo, chaque cadran solaire vise une des 12 constellations qui occupe le plan de l’écliptique au moment ou se situe le soleil lors de l’observation.Par exemple, le Rashivalaya « PISCES » vise la constellation du poisson et indique donc une heure sidérale astrologique quand le soleil occupe cet espace du ciel.

Vue sur les cadrans solaires (le Rashivilaya Yantra ) instruments du Jangar Mantar : observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste.

Détail d'un instrument du Jangar Mantar -une altération du mot sanscrit Yantrasala , signifiant "Instruments à formule ésotérique"-: observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Tous ces instruments dont les noms et les fonctions nous dépassent sont en parfait état de conservation. Ici le Brihat Samrat Yantra est un cadran solaire de 27 mètres de haut, qui permet d’obtenir, aux équinoxes, une mesure de l’heure atteignant une précision de 0,5 seconde !

Détail d'un instrument du Jangar Mantar -une altération du mot sanscrit Yantrasala , signifiant "Instruments à formule ésotérique"-: observatoire de Sawai Jai singh II grand érudit en astronomie et mathématique qui avait déjà construit des observatoires à Delhi, Mathura et Varanesi (Bénares). Peu satisfait des instruments en cuivre, Jai Singh II, à Jaipur, les construit (entre 1728 et 1734) en marbre et en pierre. Ils seront plus précis, et fournissent des méthodes et des mesures (toujours aussi précises de nos jours) pour étudier les mouvements du soleil, de la lune et des planètes, tout en étant d’une beauté abstraite et futuriste. Tous ces instruments dont les noms et les fonctions nous dépassent sont en parfait état de conservation. Ici le Brihat Samrat Yantra est un cadran solaire de 27 mètres de haut, qui permet d’obtenir, aux équinoxes, une mesure de l’heure atteignant une précision de 0,5 seconde !

Le Sarhad ki Deorhi, dont l'entrée est une très belle porte de marbre encadrée d'éléphants. A l'arrière, le hall des audiences abrite deux immenses jarres de 345 kg en argent d'une contenance de 9 000 litres. Elles servaient à transporter l'eau du Gange nécessaire aux ablutions du maharaja Madho Singh II lors de son voyage en Angleterre en 1902

Détail d'un des 2 éléphants en marbre blanc situés à la porte d'entrée du Sarhad Ki Deorhi dans la cour du City Palace de Jaipur.

Détail d'un des 2 éléphants en marbre blanc situés à la porte d'entrée du Sarhad Ki Deorhi dans la cour du City Palace de Jaipur.

Dans la cour du City palace de Jaipur – le palais de la ville où réside encore l'actuelle famille du Maharaja- se trouve le hall des audiences qui abrite deux immenses jarres de 345 kg en argent d'une contenance de 9 000 litres. Elles servaient à transporter l'eau du Gange nécessaire aux ablutions du maharaja Madho Singh II lors de son voyage en Angleterre en 1902. Reflet d'un garde devant l'une d'entre elles. 2 ans ont été nécessaires pour la construction de ces jarres, elles figurent dans le Guinness des records comme les plus grandes pièces en argent du monde.

Au fond à droite, un bâtiment blanc : Chandra Mahal ou Chandra Niwas (palais de la lune) est le bâtiment le plus dominant dans le complexe de City Palace, à son extrémité ouest. Il s'agit d'un immeuble de sept étages qui à l'heure actuelle, est encore la résidence des descendants des anciens dirigeants de Jaipur. Seul le rez de chaussée est autorisé pour les visiteurs. On voit également au sommet de Mahal Chandra le drapeau de la famille royale, qui est déployé lorsque le Maharaja est dans le palais.

Diwan-I-Khas ou la salle d'audience privée des maharajas. Il s'y trouve deux immenses jarres de 345 kg en argent, 1,6 m de haut et d'une contenance de 9 000 litres Elles servaient à transporter l'eau du Gange nécessaire aux ablutions du maharaja Madho Singh II, qui était très pieux, pour son voyage en Angleterre en 1902 (pour le sacre d'Edouard VII). 2 ans et 14000 pièces d'argent fondu sans soudure ont été nécessaires pour la construction de ces jarres ; elles figurent dans le Guinness des records comme les plus grandes pièces en argent du monde.

Chandra Mahal ou Chandra Niwas (palais de la lune) est le bâtiment le plus dominant dans le complexe de City Palace, à son extrémité ouest. Il s'agit d'un immeuble de sept étages (chacun portant un nom) qui à l'heure actuelle, est encore la résidence des descendants des anciens dirigeants de Jaipur. Seul le rez de chaussée est autorisé pour le public. On voit également au sommet de Mahal Chandra le drapeau de la famille royale, qui est déployé lorsque le Maharaja est dans le palais.

Niwas Chowk Pitam : cour intérieure, qui donne accès au Mahal Chandra (Palais de la Lune). Ici, il ya quatre petites portes (connue sous le nom Ridhi Sidhi Pol) qui sont décorés avec des thèmes représentant les quatre saisons. Les portes sont toutes de la forme de la Porte de Peacock (avec des motifs de paons sur la porte) qui représente l'automne, une autre, la porte de Lotus (à la fleur continuelle et la structure des pétales) évocateurs d'une saison d'été ; la Porte Verte, aussi appelé le Leheriya (ce qui signifie: «vagues») est de couleur verte : suggestive du printemps, et enfin, la porte de Roses avec motif de fleurs répété représentant saison d'hiver.