Chidambaram

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Détail d’un ratha : Râtha est le terme sanskrit signifiant « char ». Il désigne en particulier le char de procession, transportant la divinité lors des fêtes.

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temple du Shiva Nataraja à Chidambaram. Le mur extérieur (XVIIe) s’ouvre sur 4 porches. La rue qui part en face du gopuram (porte d’enceinte) est encombrée de boutiques. On y découvre aussi 4 grands chars en bois sur lesquels seront placées les divinités lors des processions. Ce n’est pas le tuk-tuk qui le tirera mais la force des bras des fidèles !

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Temple du Shiva Nataraja à Chidambaram. Le mur extérieur (XVIIe) s’ouvre sur 4 porches. La rue qui part en face du gopuram (porte d’enceinte) est encombrée de boutiques.

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2 ascètes : patanjali et Vyagrapada, adoraient un lingam dans la forêt de Tillai, à l’endroit même où jadis Shiva avait dansé l’anandhatandava (danse dans un cercle de feu). Content de leur assiduité, le dieu dévoila à nouveau devant eux sa danse triomphale et cosmique. Averti par ce miracle, le roi chola commença la construction d’un temple à cet endroit. Le gopuram mesure 40 mètres de haut sur 27 mètres de large et 18 mètres de profondeur. Son toit se termine à chaque pignon par une « roue de paon », ornement que l’on ne trouve que dans le pays tamoul. Tous les gopuram, qui furent conçus en accord avec les textes canoniques, sont entièrement en granit. Chaque gopuram est embelli par des sculptures exubérantes de la mythologie hindoue. Les niches portent des sculptures des divinités mineures sur la rangée inférieure et des incarnations diverses de Shiva (en forme d’ascète, etc.) sur la rangée supérieure.

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Sur les jambages intérieurs du gopuram sont figurées les 108 représentations des danses interprétées par Shiva Nataraja. Les statues de droite représentent les brahmanes en dhoti* blanc avec le cordon sacré (composé de trois brins, les trois lettres de la syllabe AUM qui indique qu’ils ont passé la cérémonie de la seconde naissance : la naissance « spirituelle ») et le chignon noué sur le côté. 3000 vivent d’ailleurs ici puisque ce temple est leur propriété collective. Le brahmane « lié au sacré » est un membre d'une des quatre castes « couleur », regroupant notamment : les prêtres, les enseignants et les hommes de loi. Plus généralement, un brahmane est un homme de lettres disposant de connaissances importantes sur le Monde. En Indes, ils combattaient les maladies qui étaient considérées comme des punitions divines : pour cela, ils interprétaient les pensées des Dieux. Ce sont des hommes très importants, les plus respectés. * pièce rectangulaire de cotonnade fine d'environ 5 m sur 1,20 m. Généralement blanc ou couleur crème, il se noue autour de la taille, et l'un de ses pans, passant entre les jambes, est fixée dans la ceinture ainsi constituée, le drapé formant un pantalon léger et aéré, un vêtement idéal dans le climat chaud du sous-continent.

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Site du temple de Shiva Natarjara à Chidambaram. Petit temple à proximité du bassin sacré. Gopuram dans le fond.

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Shivaganga, immense bassin sacré destiné aux ablutions rituelles entouré d’une séduisante colonnade. Bassin auprès duquel, dit-on, Shiva exécuta sa danse Tandava pour la première fois. Lors d’une grande fête ayant lieu sur décembre/janvier, on y baigne la statue de l’idole le 10e et dernier jour.

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Shivaganga, immense bassin sacré destiné aux ablutions rituelles entouré d’une séduisante colonnade. Bassin auprès duquel, dit-on, Shiva exécuta sa danse Tandava pour la première fois.

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Un des 4 gopuram du temple de Shiva Natarjara à Chidambaram. Le toit se termine à chaque pignon par une « roue de paon », ornement que l’on ne trouve que dans le pays tamoul. Il est embelli par des sculptures exubérantes de la mythologie hindoue. Les niches portent des sculptures des divinités mineures sur la rangée inférieure et des incarnations diverses de Shiva (en forme d’ascète, etc.) sur la rangée supérieure. Prouesse technique de bâtisseurs qui ne trouvaient le granit nécessaire à la construction qu’à 70 km de là

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Scènes de vie au village : un indien en train meuler ses outils.

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Scènes de vie au village : un indien en train meuler ses outils.

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Scènes de vie au village : un indien en train meuler ses outils.

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Scènes de vie au village : un indien en train meuler ses outils.

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Ici l’apprentissage commence par l’observation.

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Temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram (ville de chola qui rapporta l’eau du Gange car de retour d’une campagne victorieuse au Bengale, les armées de Rajendra 1er – l’un des plus brillants rois Cholas- rapportèrent pieusement de l’eau du Gange qui fût versée dans le bassin du grand temple que le roi fit construire pour célébrer sa grandeur). Le taureau Nandi, monture sacrée de Shiva occupe majestueusement l’entrée Est du site.

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Le sanctuaire du temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram surmonté d’un vimana (tour pyramidale) aux arêtes légèrement incurvées culminant à 55 m du sol.

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De l’arrière, le sanctuaire du temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram surmonté d’un vimana (tour pyramidale) aux arêtes légèrement incurvées culminant à 55 m du sol. Au 1er plan, un des deux temples symétriques annexes construits pour 2 épouses de roi rajendra 1er.

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Détail d’architecture chola d’un des 2 temples annexes (construits pour 2 épouses de roi rajendra 1er) de Pragatishwara de Gangakundacholapuram.

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Le sanctuaire du temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram surmonté d’un vimana (tour pyramidale) aux arêtes légèrement incurvées culminant à 55 m du sol. Les faces extérieures sont ornées de splendides statues de divinités, chacune placée dans une niche. Comme souvent dans l’architecture chola, les montants des niches portent des scènes secondaires liées à la mythologie de la divinité qu’elles abritent.

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Une des faces extérieures du sanctuaire du temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram ornée de splendides statues de divinités, chacune placée dans une niche. Comme souvent dans l’architecture chola, les montants des niches portent des scènes secondaires liées à la mythologie de la divinité qu’elles abritent.

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Site du Temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram (ville de chola qui rapporta l’eau du Gange car de retour d’une campagne victorieuse au Bengale, les armées de Rajendra 1er – l’un des plus brillants rois Cholas- rapportèrent pieusement de l’eau du Gange qui fût versée dans le bassin du grand temple que le roi fit construire pour célébrer sa grandeur).

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Une des faces extérieures (côté Sud) du sanctuaire du temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram ornée d’Ardhanarishwara qui est la forme androgyne de shiva, s’appuyant sur son taureau Nandi. Cette représentation du dieu témoigne de l’ambivalence de la nature divine : le « seigneur dont la moitié est féminine » (Shiva) symbolise l’union du dieu et de son énergie féminine (Shakti). Souvent représenté sous la forme hermaphrodite possédant un côté masculin et un côté féminin.

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De l’arrière, le sanctuaire du temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram surmonté d’un vimana (tour pyramidale) aux arêtes légèrement incurvées culminant à 55 m du sol. Au 1er plan, un des deux temples symétriques annexes construits pour 2 épouses de roi rajendra 1er.

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Une des plus belles images se trouvant au Nord du site du Temple de Pragatishwara de Gangakundacholapuram : Shiva, assis en compagnie de Parvati dans une attitude de rare élégance, dépose une guirlande de fleurs sur la tête de son gardien, le saint Shivaïte Chandesha. Cette scène est souvent représentée dans les temples dravidiens.