Tiruchirapally - Trichy

Tiruchirapally - Trichy

Temple de Ranganath Swami sur l’île de Srirangam (Rivière Kaveri), le plus imposant de toute l’Inde, couvrant une superficie de 63 hectares et protégé par 7 murailles concentriques franchissables (seulement 3 pour les non hindouistes et encore toujours à pieds nus). Ce temple-ville (commerces, animation, réfectoire…), bien qu'attesté historiquement dès le X e, est le cœur du vishnouisme du Sud de l’Inde depuis son développement au XVII e. Le cœur du temple est strictement réservé aux hindous, mais l’accès aux premières enceintes permet déjà de mesurer le gigantisme du lieu et la ferveur religieuse qui y règne. On y trouve 21 gopurams (porte d’enceinte de forme pyramidale décorée à profusion – plus de 1000- de divinités et personnages mythologiques). A part l'un d'entre eux qui est blanc, les autres sont polychromes et repeints pour le rester tous les 5 ans.

Tiruchirapally - Trichy

Buste érigé en l’honneur d’un guide spirituel… On découvre de part et d’autre le drapeau national indien (Tiranga, ou tricolore). Il se compose de trois bandes horizontales de largeur égale : safran au-dessus, blanc au milieu et vert pour celle du bas. Au centre de la bande blanche se trouve une roue bleue comportant 24 rayons et connue sous le nom de Chakra d’Ashoka, en référence au pilier d’Ashoka (+ de 7 mètres de haut pour 50 centimètres de diamètre, il pèse près de 6 tonnes et malgré la rigueur du climat –mousson-, ne s'oxyde jamais ; un pilier de fer, érigé en l’honneur de Vishnou au IVe siècle et qui n’a pas subi de corrosion en plus de 1600 ans) de Sarnath (cité bouddhiste qui a accueilli le 1er sermon du Bouddha).

Tiruchirapally - Trichy

Bollywood n’est pas loin… Bollywood est le nom donné à l'industrie cinématographique indienne basée Bombay et dont les films sont réalisés en hindî (et en ourdou). Il s'agit de la composante la plus populaire du cinéma indien, le plus important au monde en nombre de films tournés. Les films de Bollywood, diffusés dans toute l’Inde, s’exportent dans le monde entier, notamment dans les pays du Maghreb, du Moyen-Orient et du sud-est asiatique. « Bollywood » est un mot-valise combinant l'initiale du nom « Bombay » - ancien nom de la ville indienne appelée officiellement Mumbai - et celui d'un autre symbole de l'industrie cinématographique, en l'occurrence américaine : « Hollywood ». Il ne désigne pas un lieu spécifique mais plutôt un genre cinématographique.

Tiruchirapally - Trichy

L’un des 21 gopurams (porte d’enceinte de forme pyramidale décorée à profusion de divinités et personnages mythologiques) du temple de Ranganath Swami (XVIIe).

Tiruchirapally - Trichy

Détail d’un des 21 gopurams du temple de Ranganath Swami (XVIIe). Statue d’un personnage de la mythologie indienne.

Tiruchirapally - Trichy

Magnificence du site de Ranganath Swami (XVIIe) sur l’île de Srirangam. Une vue des toits et de quelques uns des 21 gopurams rencontrés sur les 63 hectares de cette cité religieuse.

Tiruchirapally - Trichy

Magnificence du site de Ranganath Swami (XVIIe) sur l’île de Srirangam. Une vue des toits et de quelques uns des 21 gopurams rencontrés sur les 63 hectares de cette cité religieuse, mais surtout le vimana (tour santuaire) doré, toit d'or (80 kg) du Saint des Saints, où réside le dieu, qui se dresse sur la gauche.

Tiruchirapally - Trichy

Un des 21 gopurams du temple de Ranganath Swami (XVIIe). Cet immense temple-ville (commerces, animation, réfectoire…) de 63 hectares, attesté historiquement dès le X e, est le cœur du vishnouisme du Sud de l’Inde.

Tiruchirapally - Trichy

Un des 21 gopurams du temple de Ranganath Swami(XVIIe). Cette porte d’enceinte de forme pyramidale est décorée à profusion de divinités et personnages mythologiques (plus de 1000). A part l'un d'entre eux qui est blanc, les autres gopurams (comme celui-ci) sont polychromes et repeints, pour le rester, tous les 5 ans.

Tiruchirapally - Trichy

De partout dans ce temple, les dieux, sont célébrés. C'est la puja (cérémonie d'offrandes et d'adoration de la divinité). Ici une représentation en relief sur un pilier ointe d'huile, de camphre et de pâte de santal. Une petite lampe de ghee (beurre clarifié) est mise sur le sol. On y retrouve aussi les rangolis (dessins à la poudre de riz). L'hindouisme est l'une des plus vieilles religions du monde encore pratiquées. Son origine remonte à la civilisation de l'Indus, première manifestation de la culture indienne apparue aux environs du IIIe millénaire av. J.-C. Avec plus de 900 millions de fidèles, l'hindouisme est actuellement la troisième religion la plus répandue dans le monde (après le christianisme qui compte environ 2,2 milliards de fidèles et l’islam 1,35 milliard).

Tiruchirapally - Trichy

Les Indiens intègrent l'art dans leur vie quotidienne en dessinant des rangolis. Les femmes font ces dessins chaque matin sur les seuils ou dans la cour des maisons ou sur le sol des temples. Elles tracent d'abord en pointillé le contour des motifs géométriques à l'aide d'une poudre blanche, habituellement de calcaire ou de riz, avant de le remplir d'une série de lignes. En plus d'ajouter une touche d'art et de beauté au foyer ou au temple, les rangolis protègent la famille ou le lieu sacré et témoignent d'une chaleureuse hospitalité. Les dessins sont transmis de mère en fille. Certains sont très anciens et remontent à des centaines d'années. Des formes florales ou animales s'ajoutent parfois aux peintures, mais le pouvoir des rangolis tient à sa géométrie complexe. Il existe également différents styles de dessin qui varient d'une région à l'autre du pays. Des petites lampes de ghee (beurre clarifié) sont disposées sur le sol.

Tiruchirapally - Trichy

De partout dans ce temple, les dieux, sont célébrés. C'est la puja (cérémonie d'offrandes et d'adoration de la divinité). Ici une représentation en relief sur un pilier ointe d'huile, de camphre et de pâte de santal. Des petites lampes de ghee (beurre clarifié) sont disposées au pied de la divinité. Ici Ganesh, pour tout ce qui se rapporte à la fertilité des femmes. L'hindouisme est l'une des plus vieilles religions du monde encore pratiquées. Son origine remonte à la civilisation de l'Indus, première manifestation de la culture indienne apparue aux environs du IIIe millénaire av. J.-C. Avec plus de 900 millions de fidèles, l'hindouisme est actuellement la troisième religion la plus répandue dans le monde (après le christianisme qui compte environ 2,2 milliards de fidèles et l’islam 1,35 milliard).

Tiruchirapally - Trichy

Partie Est de l'enceinte (4e) du temple de Ranganath Swami(XVIIe), se trouve le Sheshiyar mandapa (salle) datant de l'époque de Vijayanagar (monarchies régionales XV et XVIe siècles). Ses piliers, taillés en 1 seul bloc, sont ornés de chevaux montés par des guerriers, une des plus belles et certainement des plus expressives des réalisations sur ce thème. Les cavaliers sont armés de lances dont ils transpercent des bêtes fauves. Le réalisme extrême de ces sculptures est impressionnant, et leur effet saisissant.

Tiruchirapally - Trichy

Partie Est de l'enceinte (4e) du temple de Ranganath Swami(XVIIe), se trouve le Sheshiyar mandapa (salle) datant de l'époque de Vijayanagar (monarchies régionales XV et XVIe siècles). Ses piliers sont ornés de chevaux montés par des guerriers, une des plus belles et certainement des plus expressives des réalisations sur ce thème. Les cavaliers sont armés de lances dont ils transpercent des bêtes fauves. Le réalisme extrême de ces sculptures est impressionnant, et leur effet saisissant.

Tiruchirapally - Trichy

Partie Est de l'enceinte (4e) du temple de Ranganath Swami(XVIIe), se trouve le Sheshiyar mandapa (salle) datant de l'époque de Vijayanagar (monarchies régionales XV et XVIe siècles). Ses piliers sont ornés de chevaux montés par des guerriers, une des plus belles et certainement des plus expressives des réalisations sur ce thème. Les cavaliers sont armés de lances dont ils transpercent des bêtes fauves. Le réalisme extrême de ces sculptures est impressionnant, et leur effet saisissant.

Tiruchirapally - Trichy

Partie Est de l'enceinte (4e) du temple de Ranganath Swami(XVIIe), se trouve le Sheshiyar mandapa (salle) datant de l'époque de Vijayanagar (monarchies régionales XV et XVIe siècles). Ses piliers sont ornés de chevaux montés par des guerriers, une des plus belles et certainement des plus expressives des réalisations sur ce thème. Les cavaliers sont armés de lances dont ils transpercent des bêtes fauves. Le réalisme extrême de ces sculptures est impressionnant, et leur effet saisissant.

Tiruchirapally - Trichy

Représentation de Hanuman, le Dieu singe. Ici sa représentation en relief sur un pilier est ointe d'huile de camphre, de beurre et de pâte de santal. Dans l'hindouisme, Hanuman est un héros du Râmâyana*, une épopée qui raconte le périple de Râma. Hanuman a l'apparence d'un singe et plus précisément d'un "langur à face noire". Il était un grand admirateur de Râma, lequel était un avatar de Vishnu. Hanuman et Râma se sont rencontrés alors que ce dernier cherchait sa femme, Sîtâ, perdue dans la forêt de Kishkindhâ. Hanumân est décrit comme ayant une grande force, il pouvait soulever des montagnes, tuer des démons et rivaliser de vitesse avec Garuda, l'aigle homoïde qui servait de véhicule à Vishnu. Il a aidé Râma à battre le roi des démons Râvana et son armée qui détenaient Sîtâ. Dans l'Hindouisme moderne, il est un dieu très populaire dans les villages. *Le Rāmāyana qui signifie en sanskrit « le parcours de Râma » est la plus courte des épopées de langue sanskrite composées entre le IIIe siècle av. J.-C. et le IIIe siècle de notre ère. Constitué de sept livres et de 24 000 vers, le Râmâyana est, avec le Mahâbhârata, l'un des écrits fondamentaux de l'hindouisme et de la civilisation indienne.

Tiruchirapally - Trichy

Avant l'âge de 5 ans, on pratique chez les garçons et les filles le mayir kajitta, la tonte des cheveux. Selon si c'est une fille ou un garçon ainsi que conformément à la date de naissance de l'enfant, la date choisie sera spécifique. Il est conseillé de se rapprocher d'un officiant pour déterminer une date propice. La cérémonie a lieu au temple. C'est le 1er sacrifice depuis sa naissance que fait l'enfant vis à vis de dieu. Il doit s'agir en général du Koula Dévam, c'est à dire de la divinité priée par les ancêtres et la famille. Pour une question d'hygiène. En rasant la tête de l'enfant, on le débarrasse en même temps des microbes externes accumulés depuis la naissance. Les adultes s'y prêtent également pour satisfaire à l’une de leurs obligations religieuses. Le dieu Venkateswara (Vishnou) est particulièrement favorable lorsqu’on lui offre des cheveux. Les Hindous se précipitent donc chez le coiffeur chaque fois qu’ils désirent que ce dieu les soigne, qu’il les aide pour les examens ou pour réduire au silence un voisin importun. Officiellement, le rasage des cheveux est un signe d’humilité. En se faisant raser avant de pénétrer dans le temple, ils deviennent, au sens propre comme au figuré, plus réceptifs à l’énergie positive émise par Venkateswara. Celui qui souhaite que sa prière soit entendue commence par se faire raser. Après les diamants et les ordinateurs, l’Inde exporte maintenant son nouveau best-seller : des mèches de cheveux naturels… Les hindous savent que le temple est plus prospère grâce à leurs cheveux (qui sont revendus), mais ils ne s’en inquiètent pas. En effet, le temple consacre cet argent à de bonnes œuvres.

Tiruchirapally - Trichy

Avant l'âge de 5 ans, on pratique chez les garçons et les filles le mayir kajitta, la tonte des cheveux. Selon si c'est une fille ou un garçon ainsi que conformément à la date de naissance de l'enfant, la date choisie sera spécifique. Il est conseillé de se rapprocher d'un officiant pour déterminer une date propice. La cérémonie a lieu au temple. C'est le 1er sacrifice depuis sa naissance que fait l'enfant vis à vis de dieu. Il doit s'agir en général du Koula Dévam, c'est à dire de la divinité priée par les ancêtres et la famille. Pour une question d'hygiène. En rasant la tête de l'enfant, on le débarrasse en même temps des microbes externes accumulés depuis la naissance. Les adultes s'y prêtent également pour satisfaire à l’une de leurs obligations religieuses. Le dieu Venkateswara (Vishnou) est particulièrement favorable lorsqu’on lui offre des cheveux. Les Hindous se précipitent donc chez le coiffeur chaque fois qu’ils désirent que ce dieu les soigne, qu’il les aide pour les examens ou pour réduire au silence un voisin importun. Officiellement, le rasage des cheveux est un signe d’humilité. En se faisant raser avant de pénétrer dans le temple, ils deviennent, au sens propre comme au figuré, plus réceptifs à l’énergie positive émise par Venkateswara. Celui qui souhaite que sa prière soit entendue commence par se faire raser. Après les diamants et les ordinateurs, l’Inde exporte maintenant son nouveau best-seller : des mèches de cheveux naturels… Les hindous savent que le temple est plus prospère grâce à leurs cheveux (qui sont revendus), mais ils ne s’en inquiètent pas. En effet, le temple consacre cet argent à de bonnes œuvres.

Tiruchirapally - Trichy

Avant l'âge de 5 ans, on pratique chez les garçons et les filles le mayir kajitta, la tonte des cheveux. Selon si c'est une fille ou un garçon ainsi que conformément à la date de naissance de l'enfant, la date choisie sera spécifique. Il est conseillé de se rapprocher d'un officiant pour déterminer une date propice. La cérémonie a lieu au temple. C'est le 1er sacrifice depuis sa naissance que fait l'enfant vis à vis de dieu. Il doit s'agir en général du Koula Dévam, c'est à dire de la divinité priée par les ancêtres et la famille. Pour une question d'hygiène. En rasant la tête de l'enfant, on le débarrasse en même temps des microbes externes accumulés depuis la naissance. Les adultes s'y prêtent également pour satisfaire à l’une de leurs obligations religieuses. Le dieu Venkateswara (Vishnou) est particulièrement favorable lorsqu’on lui offre des cheveux. Les Hindous se précipitent donc chez le coiffeur chaque fois qu’ils désirent que ce dieu les soigne, qu’il les aide pour les examens ou pour réduire au silence un voisin importun. Officiellement, le rasage des cheveux est un signe d’humilité. En se faisant raser avant de pénétrer dans le temple, ils deviennent, au sens propre comme au figuré, plus réceptifs à l’énergie positive émise par Venkateswara. Celui qui souhaite que sa prière soit entendue commence par se faire raser. Après les diamants et les ordinateurs, l’Inde exporte maintenant son nouveau best-seller : des mèches de cheveux naturels… Les hindous savent que le temple est plus prospère grâce à leurs cheveux (qui sont revendus), mais ils ne s’en inquiètent pas. En effet, le temple consacre cet argent à de bonnes œuvres.

Tiruchirapally - Trichy

Avant l'âge de 5 ans, on pratique chez les garçons et les filles le mayir kajitta, la tonte des cheveux. Selon si c'est une fille ou un garçon ainsi que conformément à la date de naissance de l'enfant, la date choisie sera spécifique. Il est conseillé de se rapprocher d'un officiant pour déterminer une date propice. La cérémonie a lieu au temple. C'est le 1er sacrifice depuis sa naissance que fait l'enfant vis à vis de dieu. Il doit s'agir en général du Koula Dévam, c'est à dire de la divinité priée par les ancêtres et la famille. Pour une question d'hygiène. En rasant la tête de l'enfant, on le débarrasse en même temps des microbes externes accumulés depuis la naissance. Les adultes s'y prêtent également pour satisfaire à l’une de leurs obligations religieuses. Le dieu Venkateswara (Vishnou) est particulièrement favorable lorsqu’on lui offre des cheveux. Les Hindous se précipitent donc chez le coiffeur chaque fois qu’ils désirent que ce dieu les soigne, qu’il les aide pour les examens ou pour réduire au silence un voisin importun. Officiellement, le rasage des cheveux est un signe d’humilité. En se faisant raser avant de pénétrer dans le temple, ils deviennent, au sens propre comme au figuré, plus réceptifs à l’énergie positive émise par Venkateswara. Celui qui souhaite que sa prière soit entendue commence par se faire raser. Après les diamants et les ordinateurs, l’Inde exporte maintenant son nouveau best-seller : des mèches de cheveux naturels… Les hindous savent que le temple est plus prospère grâce à leurs cheveux (qui sont revendus), mais ils ne s’en inquiètent pas. En effet, le temple consacre cet argent à de bonnes œuvres.

Tiruchirapally - Trichy

Avant l'âge de 5 ans, on pratique chez les garçons et les filles le mayir kajitta, la tonte des cheveux. Selon si c'est une fille ou un garçon ainsi que conformément à la date de naissance de l'enfant, la date choisie sera spécifique. Il est conseillé de se rapprocher d'un officiant pour déterminer une date propice. La cérémonie a lieu au temple. C'est le 1er sacrifice depuis sa naissance que fait l'enfant vis à vis de dieu. Il doit s'agir en général du Koula Dévam, c'est à dire de la divinité priée par les ancêtres et la famille. Pour une question d'hygiène. En rasant la tête de l'enfant, on le débarrasse en même temps des microbes externes accumulés depuis la naissance. Les adultes s'y prêtent également pour satisfaire à l’une de leurs obligations religieuses. Le dieu Venkateswara (Vishnou) est particulièrement favorable lorsqu’on lui offre des cheveux. Les Hindous se précipitent donc chez le coiffeur chaque fois qu’ils désirent que ce dieu les soigne, qu’il les aide pour les examens ou pour réduire au silence un voisin importun. Officiellement, le rasage des cheveux est un signe d’humilité. En se faisant raser avant de pénétrer dans le temple, ils deviennent, au sens propre comme au figuré, plus réceptifs à l’énergie positive émise par Venkateswara. Celui qui souhaite que sa prière soit entendue commence par se faire raser. Après les diamants et les ordinateurs, l’Inde exporte maintenant son nouveau best-seller : des mèches de cheveux naturels… Les hindous savent que le temple est plus prospère grâce à leurs cheveux (qui sont revendus), mais ils ne s’en inquiètent pas. En effet, le temple consacre cet argent à de bonnes œuvres.